En plus de paraître trop politique, Claudine Prudencio à la tête de l'Inf incarnait une génération conservatrice face à une armée de jeunes femmes modernes et très progressistes notamment en matière de sexualité. Analyse ! Curieux ? tout à fait ! le départ de Claudine Prudencio de la tête de l’Institut national de la femme (Inf) a littéralement « réjoui » des femmes dont elle avait pourtant pour mandat de défendre les droits, la dignité. En privé comme en public, ses «sœurs » lui reprochent son conservatisme, son ‘’africanité’’ exagérée dans un monde en mutation. Rappelons-nous, en effet, de sa publication incendiaire
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