Pierre G. Dossa salue l’interdiction des affichages publicitaires anarchiques dans les villes du Grand Nokoué. L’activiste et sensibilisateur en environnement engagé souligne que cette décision «répond à une problématique essentielle». Notamment, la dégradation de l’esthétique des villes et l’encombrement visuel de l’espace public.
«Le ministre du Cadre de vie et des transports chargé du développement durable mérite des félicitations pour sa décision ferme et proactive visant à mettre fin à l’affichage publicitaire anarchique dans le Grand Nokoué. Cette initiative, saluée par l’activiste et sensibilisateur en environnement engagé, répond à une problématique essentielle : la dégradation de l’esthétique des villes et l’encombrement visuel de l’espace public.
En rappelant l’importance de respecter le décret n°2023-453 du 13 septembre 2023, portant réglementation de l’affichage publicitaire dans le Grand Nokoué, le ministère agit non seulement pour préserver l’image de nos villes, mais aussi pour lutter contre l’illégalité croissante de certaines pratiques. Ces affichages non autorisés nuisent à l’harmonie urbaine et peuvent constituer un danger pour la sécurité des habitants, en particulier lorsqu’ils obstruent les voies publiques ou interfèrent avec la visibilité des panneaux de signalisation.
Le décret, qui impose une réglementation stricte sur les formats, les supports et les emplacements des affichages publicitaires, marque un tournant vers un cadre plus ordonné et respectueux de l’environnement urbain. Cette mesure s’inscrit également dans une dynamique plus large de développement durable, où chaque élément du cadre de vie est pensé pour améliorer le quotidien des citoyens tout en respectant l’esthétique de la ville.
Il est essentiel que cette décision s’accompagne de mécanismes rigoureux de contrôle et de sanction, afin d’assurer une application stricte du décret. L’engagement du ministère est un signal fort pour les entreprises et les publicitaires, les incitant à repenser leurs pratiques et à privilégier des solutions plus respectueuses de l’environnement et de l’espace public.
En prenant cette décision, le ministre montre une véritable vision pour l’avenir du Grand Nokoué, où la beauté de la ville et le respect des normes doivent primer sur l’anarchie visuelle et la négligence. Ce geste démontre que la question de l’esthétique urbaine et de la qualité de vie des citoyens n’est pas une priorité accessoire, mais bien une valeur centrale pour le développement harmonieux de la région.
C’est avec enthousiasme que je salue cette initiative et espère qu’elle inspirera d’autres régions du pays à suivre cette voie de responsabilité et de modernité».
